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Cette année, notre party de Noël a eu lieu à la Tanière. C’était en quelque sorte un retour aux sources puisqu’il y a neuf ans, nous commencions cette série festive à la Tanière. Nous étions quatre à l’époque.

Autres temps autres moeurs gastronomiques, la Tanière a changé de propriétaires et propose aujourd’hui un menu contemporain où cuisine (légèrement) moléculaire se marie à merveille avec les produits du terroir boréal.

Le chef Frédéric Laplante et son équipe ont réussi à ravir nos sens avec des plats bien conçus, bien présentés et bien servis.

Le travail de Karen Therrien sommelière et copropriétaire de la Tanière est très remarquable.  C’est à la Tanière que personnellement, j’ai pu apprécier les meilleurs accords vins et mets.

Cette année, employés et conjoints, nous étions vingt-neuf. Merci la Tanière de nous avoir donné l’occasion de vivre l’expérience de cette passion que vous mettez dans vos plats et coupes. C’est pour nous, une inspiration.

Joyeuses fêtes et heureuse année 2013.

À mon grand plaisir, Mathieu Audet a accepté de joindre les rangs de neosapiens à titre de développeur de systèmes d’information.  Mathieu est un diplômé du MBA de l’Université Laval en Systèmes d’information organisationnels. Détenteur d’un baccalauréat en informatique, il était jusqu’à récemment inscrit à la maîtrise en Opérations et Systèmes de décision.

À un moment donné, il a décidé d’arrêter de collectionner les diplômes et de mettre son savoir au service de la pratique. C’est après avoir travaillé comme analyste et développeur de systèmes dans le domaine de la logistique et de la sécurité publique, qu’il a décidé de nous faire honneur et de venir renforcer notre équipe, déjà pas mal costaude, soit dit en passant.

Dans ses temps libres, Mathieu fonde et co-initie. Il est entre autres, membre fondateur et co-initiateur du projet du Défilé de la Saint-Patrick de Québec. Il est aussi membre fondateur du groupe rock celtique Irish Moutarde.

En mon nom et au nom de l’équipe, je te souhaite Mathieu, la plus chaleureuse des bienvenues.

 

J’ai eu à quelques reprises des demandes d’information sur notre approche de développement de systèmes sur mesure. Ces requêtes sont très pertinentes surtout si l’on considère l’influence de l’approche sur la qualité des systèmes à mettre en place et sur la qualité d’exécution des projets de réalisation.

Si vous aussi voulez savoir comment nous nous y prenons, je vous réfère à la section « Comment » de ce site.  Nous y évoquons sommairement les différentes étapes de réalisation, allant de l’architecture au déploiement en passant par la conception et le développement.

Évidemment, il n’y a pas de méthode qui convienne à tous les contextes. Il est indispensable de savoir adapter les façons de faire aux exigences de l’environnement de réalisation.  Nos clients sont principalement les syndicats de la fonction publique et parapublique du Québec, pour qui nous développons des systèmes d’information sur mesure qui viennent en appui direct à la mission syndicale. Dans ce contexte, notre approche est globale et l’étape d’architecture y est cruciale pour l’identification et la maîtrise du besoin. Elle est importante aussi pour assurer l’intégrité informationnelle et la cohérence fonctionnelle de l’ensemble des modules du système. Dans d’autres contextes, ce sont les autres étapes qui peuvent exiger une attention particulière.

Mais dans tous les cas, il faut garder à l’esprit que si la méthode utilisée a un impact considérable sur la qualité des systèmes d’information livrés, la qualité des gens qui réalisent ces systèmes est encore plus déterminante. Rien en effet, ni les méthodes ni les technologies utilisées, ne se substitue à la qualité de l’équipe qui fait le travail. Savoir faire et savoir être restent les principaux ingrédients de succès de n’importe quelle entreprise humaine.

Nous tenons régulièrement en marge des projets en cours, des réunions dont l’objectif est de prendre du recul et revisiter nos pratiques afin de les renouveler.

S’il est possible de s’améliorer dans l’action, se renouveler nécessite de prendre une pause et de la distance.  Nous avons pris le temps vendredi dernier avec une de nos quatre équipes de revenir sur certaines de nos façons de faire. Nous avons identifié des zones où nous pensons que nous pouvons significativement apporter des changements bénéfiques pour nos employés, nos clients et notre organisation dans son ensemble.

Nous avons par exemple convenu de rendre plus systématique ce genre de réunions et d’en tenir au moins deux par année par équipe et une réunion annuelle générale pour toutes les équipes.

Sur le plan méthodologique, nous avons introduit le concept de bloc fonctionnel qui est un regroupement de cas d’utilisation qui ont une affinité sémantique.  Le bloc fonctionnel remplacera le cas d’utilisation comme outil de planification de projets et de suivi des temps de réalisation.

Nous avons enfin constaté pour la énième fois que nous continuons à être le secret le mieux garder de notre industrie et qu’il fallait que ça change. Nous avons convenu de « parler » davantage de ce que nous faisons dans une optique de partage de connaissances et d’expertise et non dans une optique publicitaire. L’idée étant de contribuer au domaine et d’engager la conversation avec les membres de la communauté des TIC dans une perspective de partage et d’enrichissement mutuel.